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Chaque jour il faut danser, fût-ce seulement par la pensée Cadre1Chaque jour il faut danser, fût-ce seulement par la pensée Cadre3

Chaque jour il faut danser, fût-ce seulement par la pensée

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Message posté : Lun 29 Jan 2018 - 18:14 Message
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Logan Skall
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Logan Skall

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Daghild
&
Logan
Chaque jour il faut danser, fût-ce seulement par la pensée
Depuis mon arrivée j'avais vécu pas mal d'aventure incroyables. Les Komen Kirosi m'avaient réservé un grand nombre de surprises ! Et un tel avenir que je pouvais sentir me tendre les bras. J'avais eu du mal à venir sur Fálki, Astrid avait bien faillit me faire faire demi-tour. mais me voilà sur cette très belle île, j'ai retrouvé Anja pour lui livrer sa commande, j'ai fais la rencontre de Swanhilde, et nous sommes partis à la chasse aux Harpies avec Sigrid. C'est là que la mort ma tendue les bras pour la première fois depuis longtemps. Je me suis vu partir après que les Harpies m'aient empoisonné, mais Sigrid et les Fálkidottir m'ont sauvé la vie. Aujourd'hui je songeais à repartir pour Snákr, mais pas avant un peu de détente. Ce soir il était organisé une soirée en plein air sur une place à Þoka, qui je dois l'avouer, était toute désignée pour accueillir une foule. C'était une soirée dansante, et cela m'étonna un peu. Je ne voyais pas vraiment les Fálkidottir danser, elles avaient un réputation de guerrières endurcies, et non de danseuses. Comme quoi les apparences peuvent parfois être trompeuses ! Je m'étais donc rendu en fin d'après midi à la petite fête, plusieurs cochards étaient en train de cuir, sûrement pour qu'à la nuit tombée, les festivités buccales puissent commencer sur les chapeau de roue !


Prenant un verre alcoolisé dont j'ignorais le contenu, je ne m'aventurais pas pour autant parmi les quelques femmes qui dansaient déjà. Disons que je profitais du spectacle, de belles femmes aux jambes galbées et aux mouvements plus qu'agréables, la vue était juste trop belle d'où je me trouvais pour que j'aille me confondre dans le tableau. trempant mes lèvres dans mon verre, j'essuyais quelques regards et parfois quelques rires, moqueurs ou curieux, des yeux se détournant quand je croisais leur regards... J'étais presque le seul homme ici, pourtant j'étais loin d'avoir toutes les femmes à mes pieds même si je sortais une guitare, nous n'étions pas au continent, où il suffisait de faire rire, de flatter, ou de raconter de belles histoires pour que plusieurs filles vous regardent en faisant valoir leur décolleté. Quelque part je préférais cela, les filles du continent était beaucoup plus faciles, mais du même coup, beaucoup plus superficielles. Les filles ayant des convictions, des personnalités distinguées, étaient beaucoup plus intéressantes, et souvent les nuits beaucoup plus mouvementées. J'avais pu remarqué que certaines filles de Bjǫrn ressemblaient à celles de Gamall, pas toutes bien heureusement, mais bien plus que celles que j'avais pu croiser sur Snákr qui doivent en permanence affirmer leur force ou sont assumées comme filles de joie. Fálki regroupait des filles bien plus forte de leur esprit que de leur physique, et aujourd'hui, en cette soirée au ciel dégagé, la pression de la réputation retombait. En ce lieux je n'étais pas le commerçant Gamallien ayant fuit son passé pour venir sur les Kolmen Kirosi, et ces femmes n'étaient pas des guerrières nées de Fálki, nous étions tous humainement liés par la musique.



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Message posté : Dim 11 Fév 2018 - 11:17 Message
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Un rire franc lui échappa lorsqu’une de ses camarades conclu son histoire. La chute était à la fois inattendue et grossière et la façon dont son amie la lui racontait ajoutait du comique au ridicule.
C’est ce qui ressortait de ce genre de festivités, la convivialité, les rires, la détente, les histoires de luttes, les aventures de guerrière où se mêlaient le mythe et la réalité, la légende et le réel. La viande cuisait, l’alcool coulait, les rires retentissaient et la musique charmait. La musique ! Ô douce mélopée qui embrasait les coeurs et liait chaque individu à son voisin. Daghild appréciait ce genre d’événement. Et c’était d’autant plus appréciable après une dure journée de labeur à entrainer les enfants, ou à contrôler les cordages de son drakkar. Ici, chacun relâchait la pression et oubliait l’espace d’une soirée ses tâches quotidiennes. Ici, chacun discutait avec sa voisine, échangeait des plaisanteries et simplement partageait un instant de vie. Et puis l’on dansait…
Enfin pas Daghild. Non, elle n’était pas vraiment adepte de ce genre de discipline. Ses danses à elle se faisaient sur le pont d’un navire, une hache à la main. Du genre plus discrète qu’exubérante, la jeune femme préférait regarder et admirer la fluidité de mouvement de ses consoeurs. On aurait dit de doux oiseaux en pleine parade nuptiale. La musique y ajoutant son charme, c’est directement aux Dieux que les danseuses s’adressaient. Concernant Daghild, elle avait d’autres façons de discuter avec ses divinités.

Avec une tape sur l’épaule, sa compagne l’abandonna vers d’autres publics afin de les faire profiter de son histoire hilarante. La blonde en profita donc pour porter sa chope aux lèvres et boire une toute petite gorgée. Daghild n’était pas une fervente adepte des boissons alcoolisées. Elle trouvait que cela avait tendance à rendre les gens stupides et embrumait l’esprit. Et si il y avait une chose que la jeune femme détestait par dessus tout c’était d’être privée de ses capacités mentales. Il lui plaisait fort de penser que son don d’observation était un cadeau des Dieux. Et il lui plaisait bien plus encore de garder le contrôle de son esprit là où tant d’autres perdaient le leur, trop euphorisés par un hydromel quelconque. Certaines déjà, semblaient avoir un peu trop abusé du précieux liquide. C’est un regard pathétique qu’elle posa sur celles qui se ridiculisaient déjà. Elle reporta alors son regard sur les danseuses avant de repérer une silhouette intéressante de l’autre coté des flammes. Se redressant, elle prit la direction de la dite silhouette. Non loin de lui un groupe de minettes l’observait sans discrétion et gloussait comme des dindes. Ah ! La naïveté de la jeunesse ! Il faut dire que le jeune homme attirait quelque peu les regards. Etranger à leur île, plutôt beau garçon, il était d’une nouveauté toute fascinante pour ces jeunes demoiselles. S’approchant de lui, elle lui tendit une chope et s’appuyant nonchalamment contre un des piliers de bois qui soutenait une tente lui dit :

« Tu es la nouvelle coqueluche de la soirée, marchand. »

Sans lui jeter un regard, les yeux fixés sur le spectacle, elle esquissa un sourire amusé. Logan était arrivé par bateau quelques jours plus tôt. C’est ailleurs Daghild qui avait repéré l’esquif avant qu’Astrid ne décide de l’aborder. La rencontre entre son capitaine et le jeune homme avait été quelque peu houleuse, et dans son coin, Daghild s’était bien marrée à voir son amie malmener et menacer le jeune homme. Là dessus, elle se permettait de rejoindre Astrid en pensée. Quelque chose lui disait que Logan n’était pas forcément un individu de confiance. Trop mignon, trop propre sur lui, trop beau parleur. Et puis surtout c’était un homme…
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Message posté : Dim 11 Fév 2018 - 21:17 Message
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Daghild
&
Logan
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Les festivités battaient leur plein, un grand feu de camp était allumé au milieu, sur lequel rôtissait la viande qui allait être servie ce soir, l'alcool coulait à flot, rien à redire, une fête comme on les aime. Ce qui me faisait le plus sourire, c'était ce groupe de trois jeunes filles qui ne me quittait pas du regard, sauf au moment où je tournais la tête vers elle. J'aurais pu aller vers elles et sortir mon plus beau sourire en disant "oui c'est moi le Gamallien" mais quel importance, ces filles étaient jeunes, et justes curieuses des choses de la vie. Les seuls hommes présents sur l'île étaient des esclaves pour la plupart, et des marchands de passage d'une quarantaine d'années. Elle n'avaient donc sans doute jamais approché un homme d'une vingtaine d'année qui soit libre de ses mouvements et de ses pensées. Elles n'avaient sans doute jamais vu un instrument masculin qui plus est. Quand j'étais un peu plus jeune sur Gamall, la réputation de marin en faisait aussi frissonner plus d'une, les récits de grandes aventures, d'attaques de noyeurs, elles en devenaient folles. Il m'est arrivé d'être le premier homme à passer sur une jeune femme. Bien que la chose soit loin d'être désagréable, maintenant que je suis plus proche des trente ans, je me désintéresse des très jeunes femmes qui n'ont que curiosité de la chose. Après une première fois, elles s'attachent souvent et il est difficile de leur expliquer que tu ne peux pas passer ta vie avec elle, ni forcément d'autres nuits d'ailleurs, sans la vexer. Honnêtement, je préfère qu'une jeune pucelle se trouve une relation légèrement plus stable pour ses débuts en matière. Et puis soyons honnête, une femme sachant s'y prendre c'est vraiment autre chose.


Ne prenant pas pars aux danses qui se transformaient en véritables spectacles de talent, je profitais de la vue des courbes féminines et sportives que m'offraient les danseuses, tandis que les craquements des flammes nuançais les couleurs de leurs tenues. Le soleil était bas, le ciel prenait une couleur rosée qui s'accordait parfaitement avec celle du feu, la vue était tout simplement splendide. Je fus néanmoins tiré dans mes pensées par une chope que je vis arriver devant moi, tendue depuis ma gauche. Je tournais la tête, c'était la seconde du Fer-de-lance, je l'avais aperçus sur le drakkar lors de notre arrivée. J'ignorais jusqu'à son nom. Toutefois elle, avait l'air de m'avoir reconnu. Je pris la chope qui m'étais tendu alors qu'elle m'adressait une remarque tout en regardant le spectacle. « Tu es la nouvelle coqueluche de la soirée, marchand. » Elle m'arracha un petit rire, je portais la chope à mes lèvres. Elle faisait référence aux jeunes filles qui avaient fait le fruit de ma réflexion quelques secondes plus tôt. Visiblement, si les jeunes demoiselles n'étaient pas discrètes en matière de lorgne, les dames plus matures avaient l'air de quand même se rendre compte de ma présence. "Ces filles sont curieuses, c'est normal, un homme sur Fálki, quelle Audace !" dis-je sur le ton de l'humour avant de porter à nouveau ma chope au lèvres. Je fixais également le feu et les danseuses qui bougeaient telles des flamiches de ce même élément. "Mais il en est d'autre que ma présence ne fait pas frémir, n'est-ce pas Vis-Capitaine?" J'avais pu la remarquer se retenir de rire lorsque je pensais que j'allais juste faire demi-tour pour retourner sur Snákr en leur laissant Sigrid. Mais finalement Astrid m'avait laissé passé, moi et mon fidèle bateau. Le Black Sea n'était pas un drakkar, il était environ trois fois plus petit que le Fer-de-Lance, et ce n'était qu'un bateau de commerce. Si les guerrières nous avait éperonné, le Black Sea serait par le fond à l'heure qu'il est. C'est loin d'être un bateau de guerre. Il ne possède qu'un harpon à l'avant pour tout animal marin qui nous chercherait des noises, et n'est pas plus armé que cela. Cette femme devait se rire de mon petit bateau, ainsi que de la façon dont son capitaine nous a imposé le respect. Mais après tout, grand bien lui fasse, il parait que ceux qui rient vivent plus longtemps, certaines personnes viveront pour l'éternité !


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Message posté : Jeu 5 Avr 2018 - 16:15 Message
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Si Daghild avait choisi d’aborder l’étranger Gamallien, ce n’était certainement pas pour les mêmes raisons que les trois gourgandines qui observaient ce dernier. Les jeunes filles riaient, le pointaient du doigts, gloussaient à nouveau à chaque regard qu’il leur renvoyait et rougissaient jusqu’aux racines des cheveux avant de rire à nouveau. Pathétique. Leur comportement avait tout de celui de jeunes jouvencelles innocentes et naïves. N’avaient-elles donc rien de mieux à faire ? A peine Daghild s’était-elle approchée du jeune homme, lançant un sourire amusé aux demoiselles, que ces tourterelles déguerpissaient comme feuille au vent. Certainement craignaient-elles quelques remontrances de la part de la jeune femme, ou bien pensaient-elles que leur coqueluche de la soirée était désormais inaccessible. Hélas non, la jeune femme n’avait pas offert une chope de douce boisson alcoolisée dans le but de glousser comme une dinde.

Les échanges dont elle avait été témoin entre le jeune homme et son capitaine, l’avaient fortement amusée sur le moment. La blonde, toute aussi calme, posée et discrète qu’elle avait l’air avait aussi ce désir d’échauffourée et cette fierté de femme guerrière propre à toute combattante de Fálki. Et puis il fallait bien admettre que voir Astrid éructer et menacer quelqu’un était un spectacle diaboliquement agréable. C’est le visage de l’homme qui l’avait fait rire. L’espace d’un instant questionnant les Dieux sur son avenir. Finirait-il par le fond, ou bien la diabolique blonde le laisserait-elle passer ? N’importe quel homme voyant un équipage féminin présumait forcément de ses capacités à s’en tirer indemne. Que ce soit par pure machisme ou charme qu’il croit irrésistible. Tous, absolument tous, aiment à penser que ces douces demoiselles se montreront miséricordieuses. Pauvres âmes crédules… D’aucun ne s’attend à se faire menacer de nourrir les poissons pour l’éternité. Et combien se sont-ils fait rabattre le caquet proprement par les-dites demoiselles. Ah ! Quelle fierté ! Quelle fierté que de voir l’hésitation et la crainte se peindre l’espace d’une fraction de seconde sur ces visages masculins. Ah quelle fierté de pouvoir, l’espace d’un instant, échanger les rôles que ces barbares porteurs de testicules pensent immuable… Finalité, dans sa grande sagesse, Astrid avait laissé le petit navire continuer sa route jusqu’au port de Fálki.

C’est pour cette raison que, bien que son charme avait opéré momentanément sur le capitaine, Daghild ne s’attendait pas à retrouver le marchand sur son île. N’importe qui de censé et après avoir reçu un tel accueil, aurait vite fait son affaire avant de reprendre rapidement la mer sans souhaiter s’attarder sur Fálki. Mais apparemment le jeune homme comptait justement s’attarder. Il ne semblait pas inquiet le moins du monde et paraissait au contraire profiter des festivités, si ce n’était pas en actes, au moins en regards. La remarque du jeune homme fit sourire la guerrière. « En effet… » Un homme sur Fálki ! Et quelle audace ! Les hommes n’étaient pas les bienvenus par ici. Et le peu qui y résidaient étaient soit des esclaves, soit des individus avec un talent dont on ne pouvait se passer et qui avaient montrer patte blanche bien avant de se faire accepter. Donc oui, il se montrait audacieux à s’attarder ici, ce qui ne faisait qu’attiser la curiosité de la jeune femme.
Il enchaina sur l’idée que sa présence ne faisait pas frémir tout le monde, au contraire des demoiselles de tantôt. Elle coula un regard amusé sur lui, puis haussa un sourcil. « Et le devrions-nous ? Frémir de ta présence ici ? » Pour être honnête, Daghild était curieuse de connaitre la raison de la présence de Logan ici. Il s’était présenté comme Logan Skall, Capitaine du Black Sea, et marchand de fournitures alchimiques. Mais il était aussi un homme, en territoire quasi hostile, vu comme un indésirable. Il avait depuis lors eu tout le temps de vendre ses marchandise et de repartir vendre ses nouveaux achats ailleurs. Car n’était-ce pas là le travail d’un marchand. Acheter et vendre, ici et là ? Alors pourquoi tant s’attarder ?
Il l’avait appelé vis-capitaine. Cela montrait que malgré sa crainte de finir par le fond, il avait remarqué sa position au sein de l’équipage lorsque le Fer-de-Lance l’avait abordé. Monsieur avait donc le sens de l’observation et le sang suffisamment froid pour prendre le temps d’observer son environnement dans un moment sous tension. Décidément non. Quelque chose disait à Daghild qu’il n’était pas simple marchand. Ou alors pas que ça. C’est pourquoi elle se fit un plaisir de ne pas lui donner son nom et attendit tout sourire sa réponse. Devait-elle frémir quant à sa présence ici ?
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Message posté : Jeu 5 Avr 2018 - 23:19 Message
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Elle était légèrement distante, comme tout le monde ici envers moi après tout. J'avais fini par m'habituer, il n'y avait que Lartha l'aubergiste où j'avais créché qui m'avait accueillit à bras ouvert. Honnêtement j'étais assez surpris dans un premier temps de voir qu'un groupe de demoiselle s'intéressait à moi, et puis au final j'avais compris que ce n'était que de la curiosité naturelle. Mais cette femme n'avait sans doute plus aucune curiosité à satisfaire de se côté là. J'ignorais jusqu'à son nom, et pourtant je ne saurais dire pourquoi, j'appréciais sa compagnie. Le fait qu'elle vienne d'elle même, m'offrant une boisson, c'était déjà deux choses qu'aucune autre personne n'avait fait. elle gardait cette distance et ce léger mépris, mais je n'y faisais même plus attention. « Et le devrions-nous ? Frémir de ta présence ici ? » Elle m'arracha un rire heureux, personne n'avait jamais frémit de ma présence où que ce soit, je n'avais pas vraiment une tête qui faisait peur... Portant ma chope à mes lèvres, j'en pris quelques gorgées, puis, m'essuyant les lèvres sur le dos de ma main, je lui répondis. "Si quelqu'un avait quoi que ce soit à craindre de moi, je n'aurais même pas eu droit de poser un pied sur cette terre." Et je n'aurais vraiment pas apprécier me voir refuser l'accès à Fálki, et maintenant que j'ai vu cette île, je regretterai encore plus m'en voir bannit ! Bjǫrn est mon garde mangé, Snákr est ma muraille mais Fálki... Je ne sais pas, j'aime cette île. Mais je sentais bien que ma présence était toutefois indésirable, et que cela faisait maintenant plusieurs jours que vagabonde, que je fais de la cueillette et que je débusque des créatures dangereuses...

"En toute honnêteté, je vois bien que ma présence dérange, mais je n'ai pas envie de partir. Je ne suis pas Snákrson, je n'approuve pas cette guerre silencieuse entre les îles. Je suis allé sur Snákr et sur Bjǫrn, mais en réalité, en venant sur Fálki... Je ne sais pas... Cette île est belle." Cette île me rappelait mon île natale en vérité. L'île Skall était toute petite, mais elle était agricole et de ce fait, était très verte et respirait les céréales et la verdure, comme ici. "C'est... Comme si j'étais un enfant qui rentrait chez lui après une longue absence. Je n'ai pas envie de repartir si vite." Si j'avais su, j'aurais aimé m'installer sur Fálki plutôt que sur Snákr, mais c'est Fálki elle même qui n'aurait pas été d'accord. L'île n'aurait pas laissé un inconnu s'installer comme ça. Si j'y étais arrivé comme je suis arrivé sur Snákr, c'est à dire échoué sur une plage à moitié mort, ce n'est pas dans une taverne que j'aurais été emmené, mais dans doute aux fers pour me faire réveiller à coup de seau d'eau en me demandant pour qui est-ce que j'espionne... Mais pour en revenir à cette belle soirée qui se déroulait sous nos yeux, autours de ce joli feu de joie, la musique commençait à battre son plein, ce qui eut pour effet de faire battre ma jambe droite en rythme. J'ai souvent draguer de jolies filles en jouant du luth, mais ce n'est pas ici que ça arrivera. Et vous vis-capitaine, vous ne dansez pas ?"



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