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Sköll Arbjörnson // The Wolf only needs enough luck to find you once... Cadre1Sköll Arbjörnson // The Wolf only needs enough luck to find you once... Cadre3

Sköll Arbjörnson // The Wolf only needs enough luck to find you once...

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Message posté : Mar 29 Mai 2018 - 0:40 Message
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Sköll Arnbjörnson
Snakr - Marchand

Sköll Arnbjörnson

Snakr - Marchand
Infos de base
Aucun

∞ Nombre de messages : 24
∞ Nombre de messages RP : 3
∞ Âge du personnage : 30 ans
∞ Caste : Marchands
∞ Métier : Gérant de la "Taverne", un bordel connu des habitants de Snakr
∞ Statut : Célibataire
∞ Liens rapides : Présentation
Carnet de voyage
Liste des Aventures
Aptitudes & Compétences
Défis
Fiche RPG
Feuille de personnage
Niveau de l'aptitude:
Sköll Arbjörnson // The Wolf only needs enough luck to find you once... 180112050724235522154466203/10Sköll Arbjörnson // The Wolf only needs enough luck to find you once... 18011205082523552215446622  (3/10)
Niveau de renommée:
Sköll Arbjörnson // The Wolf only needs enough luck to find you once... 180112051013235522154466293/10Sköll Arbjörnson // The Wolf only needs enough luck to find you once... 18011205082523552215446622  (3/10)
Description sommaire:
• Nom : Arbjörnson
• Prénom : Sköll
• Sexe : Masculin
• Âge : 30 ans

• Caste : Marchand
• Métier : Gérant d'une Taverne

• Situation maritale : Célibataire
• Orientation : Homosexuel (ne le dit juste pas haut et fort)

• Famille : Dernier d'une fratrie de 8 enfants. Certains de ses membres sont morts de façon... Prématurée... Néanmoins en voici les membres :

Alrik Arbjörnson : fils de Arbjörn, héritier d'une lignée dominée par les hommes et connue pour n'engendrer que des fils, il est un fier guerrier, dont les exploits ont effleuré ceux de son père. Un homme qui a éduqué ses fils avec une main de fer. Il en a fait des guerriers, des hommes forts. Mais les uns après les autres, ils l'ont déçu. Jusqu'à ces jours funestes. Il a enterré trois des fils avant de mourir lui même. Aujourd'hui on parle de lui comme d'un guerrier maudits dont les massacres ont engendré une malédiction sur les siens.

Fridhilde : Cette femme douce et valeureuse a engendrer ce que Alrik attendait d'elle : des fils. Elle les a nourrit et chéri jusqu'à ce que leur père décide qu'ils soit temps de les élever en guerrier. Personne, pas même ses enfants ne sauraient dire si elle aimait son mari ou non. Cette question ne se pose pas. Néanmoins chacun de ses fils à pleurer sa mort survenue lorsque ses enfants derniers nés étaient âgés de 7 ans, de fatigue. Un déchirement pour Sköll qui vit encore avec le poids de cette absence plus de 23 ans plus tard...

Harding : Le premier né, longtemps la fierté de son père. Ce guerrier implacable et pourtant fin stratège est l'exemple même de ce qu'un père de Snákr attend de son fils. Marié, il est aussi le détenteur de trois femmes écumes. Mais la fierté de son père s'est éteinte avec les plus de dix filles que cet enfant à engendrer. Peu avant sa mort son père ne le voyait plus que comme un bon soldat qui avait de son mieux mais dont le nom de pourrait l'emporter sur son héritage. Depuis que la malédiction frappe sa famille, et "l'incident" Harding est en fuite et a préféré la vie en mer que la mort sur terre.

Diter : Bien plus rude que son aîné, et avec moins de tendance à la dispersion, Diter avait laissé les combats (où il excellait) pour devenir gardien des mines lorsqu'il s'est marié. Sa femme ne semblant pas pouvoir lui donner d'enfant ce fut à cet amer constat qu'il pris une femme écume. Cette dernière ne fit pas mieux et bientôt l'idée fut souffler que le problème n'était pas les femmes mais lui... Une nouvelle déception pour Alrik qui se détourna de son second fils. Ce dernier se replia sur ses mines, et ce fut à l'entrée de l'une d'elle qu'on le retrouva mort. Un bras manquant, et une morsure immense sur l'abdomen. Il est le premier des Arnbjörnson à avoir péri, ne laissant pour seul héritage que le sang et la poussière des mines.

Dankrad :Tout aussi guerrier que ses aînés, Dankrad avait fait le choix de ne pas prendre femme. Il participa de nombreuses fois aux Tveirbinda. Il n'y obtint jamais satisfaction et ne donna naissance qu'à des filles qui ont toutes rejoint leurs mères. Subissant l'humiliation de son père et ne trouvant aucun autre échappatoire que la vapeur de l'alcool, Dankrad sombra lentement dans la folie. Un état qui ne fit qu'empirer avec la mort de ses frères, Tous pourchassés par "la Bête" il est le premier à avoir parler de Malédiction. Il se savait sur la liste et l'avenir ne pu que lui donner raison. Ironiquement il mourut quelques minutes avant son père, en tentant de défendre celui qui l'avait tant raillé.

Wilfrid : Surnommé Vil par ses frères, ce guerrier à la grande gueule est surtout connu pour être le plus sournois des frères Arbjörnson. Peu sont ceux qui l'ont vu tuer sur un champs de bataille pourtant il est reconnu comme étant un merveilleux guerrier. Seul son père se doutait de ses tours de passe-passe, mais il aimait son culot et lui pardonnait volontiers cette fausse réputation. N'étant ni marié ni détenteur d'une femme écume il a lui aussi participer à de nombreuses Tveirbinda. Il n'eut jamais aucune nouvelle d'une quelconque descendance. Et il devait le reconnaître ne s'en portait pas plus mal. Il fut le second des frères à mourir. On retrouva son corps flottant dans une baie entre les rochers. Si on a un instant pensé à une chute ses blessures ne permirent aucun doute : une bête décimait bien la population.

Leif : Il est l'archétype de l'homme charmant mais dangereux. Leif est connu pour séduire les femmes. Devenus marin parce qu'il ne voulait pas se battre plus que cela, il fut très vite une déception pour son père. Guerrier un temps, voyageur souvent, il se plaît davantage à Bjǫrn qu'à Snákr. Pourtant avec la mort de son père et de ses aînés, avec la fuite de celui qui aurait dû être l'héritier, Leif est revenu sur la demeure familiale pour protéger ses cadets. Il sait, il sent que sa vie est menacée, mais veut prouver à son défunt frère qu'il n'y a pas plus de malédiction dans leur famille que de fleurs sur l'île. Depuis ce marin est redevenu guerrier et participe à chaque battue organisée pour retrouver la Bête.

Ingvar Il n'est pas le dernier de la famille, et pourtant tous le considèrent comme tel. Plus frêle, plus influençable au fond il ne voulait pas s'opposer aux choix de Sköll mais s'y est senti obligé entraîné par le reste de son clan. Lui pour qui la famille compte tant, lui qui se croyait l'héritier d'une famille au courage et à l'union sans faille est tombé de haut. Il est le seul à ne pas avoir frappé Sköll là où cela ferait le plus mal, et pourtant se sent coupable de ne pas avoir au moins pu protéger son neveu de l'épée vengeresse de son frère aîné. Aujourd'hui il vit un peu en retrait du peu de ce qu'il reste de sa famille, et passe régulièrement voir son petit frère. Il est le seul à voir dans quelles profondeurs il s'enfonce chaque année un peu plus. Étonnement il est le seul de sa famille que Sköll supporte encore...

Hita : Le frère jumeaux de Sköll, et pourtant son total opposé. Si enfant Sköll était plus proche de sa mère, vite effrayé, et plus rêveur, Hati lui était une force brute qui rachetait la faiblesse de son frère. Puis Hati est devenu père d'une fille lors d'une Tverbinda, à celle là même où Sköll est devenu père d'un fils. Un fils qui a survécu. Depuis "l'incident" les rôles se sont inversés, et si cela fait presque dix ans que Sköll s'imprègne de noirceur, son double s'emplit de peur. De l'enfant bagarreur et
fier, il ne reste plus rien, plus rien si e n'est un homme effrayé par une bête mythique, prêt à tout pour se défendre, luttant dans un dernier souffle contre une mort qu'il pense annoncée...

Karl Le plus grand secret de Sköll, celui qu'il a su préserver et protéger pendant presque cinq ans. Il était parvenu à faire sa vie avec ce jeune homme qu'il avait aimé dès leur première rencontre. Ils ont su créer leur univers loin des regards, dans les grottes de l'île. Mais leur secret fut mis à jour et la douceur de Sköll s'est envolé avec la perte de sa famille dont Karl était le pilier. Cela fait dix ans maintenant, et rien ne semble atténuer la peine.

Runi : Fils de Sköll, né suite à une Tveirbinda, l'enfant était le joyaux de son père. Il l'élevait avec moins de rudesse que celle qu'il avait connu, partageant le secret de son père. il était parvenu à rassembler autour de lui son grand père et son père. Mais ce rêve éveillé pris fin lorsque l'enfant eu quatre ans et que son oncle mis fin à sa courte vie.


Mental

• Description mentale : Comment un seul et même homme peut passer d’une extrémité à une autre. Sköll c’est cet enfant qui courait le jour entre les rochers avec la peur vissée aux chevilles. Cet enfant aux yeux gris et rieurs qui revenait entre les jupes de sa mère mais craignait le regard de son père. Cet enfant qui chassait le soleil en rêvant de devenir oiseau. Il ne semblait pas appartenir à cette île. Fragile, tendre, trop pour son père qui lui préféra son jumeau, cette autre part de lui. Et puis il y a eu la perte, la mort qui a frappé, une fois, puis deux, puis trois. Cette mort qui engloutit tout même les sentiments les plus purs et les plus beaux. Sköll a aimé, follement, passionnément et dans le secret des grottes, mais tout lui a été pris, arraché avec violence et dans le sang, sans remords, sans excuses. Alors la nuit, sans fin, l’a avalé, entraînant avec lui son humanité, chaque année un peu plus. Beaucoup pensaient qu’il allait en crever, peu ont imaginé qu’il serait toujours debout dix ans après. De l’enfant frêle et souriant il ne reste rien. Maintenant, à trente ans, c’est un homme violent, railleur, cynique, le plus souvent, sombre, et impulsif. Ce n’est pas de la tristesse, pas même de la mélancolie, ce n’est que violence, pure et brutale. Il est cet homme que l’on dit alcoolique, rendu mauvais par les boissons qu’il vend autant qu’il consomme. Pourtant dans le gris de ses yeux devenu terne, dans ses mots murmurés que trop rarement on entend encore toute l’intelligence et la vivacité qui fut celle de cet adolescent amoureux. Sauf que là où il parlait d’amour, il n’y a plus que d’amer constats. Ô non il n’était pas digne des Arbjörnson et de leur vaillant héritage, mais comme il ressemble à son grand-père aujourd’hui. Lui emplit de vengeance et de haine il semble avoir finit sa course, il semble avoir avalé le soleil qu’il aurait pourtant dû pourchasser jusqu’à la fin des temps…


• Comment votre personnage considère les membres des îles voisines ? Et de Gamall ? La seule chose qui intéresse Sköll concernant ces îles ce sont les hommes qui viennent sur Snákr et entrent dans sa taverne. Il n’a pas d’attirance particulière pour Bjǫrn, et même si il a été un temps fasciné par la culture de cet endroit, aujourd’hui ils ne sont plus qu’un ramassi d’hommes qui se croient plus intelligents que les autres et pête plus haut que le balai qu’ils ont profondément dans le fondement… Mais ils consomment beaucoup et payent bien. Quant aux femmes de Fálki ? Il leur devait Runi. Par conséquence il n’a rien contre elles, et trouve même que l’arrangement fait entre les deux îles était plutôt… Pratique. Aujourd’hui il ne veut plus entendre parler des Tveirbinda, et si il continue de respecter ceux ou celles qui viennent sur l’île c’est uniquement parce qu’ils lui permettent de gagner un peu d’argent. Quant à Gamall ? Il n’y accorde guère plus d’intérêt. Un continent de plus, des voyageurs de plus, des consommateurs de plus. Le compte est bon...

• Quelle vision votre personnage a-t-il du rôle de l'homme et de la femme ?Le rôle de l’homme et de la femme ? Il en a la vision que son père, sa famille lui en a donné. L’image qu’il avait de cette mère chérie. Et elle est loin d’être éclatante de beauté. Sa mère, n’était qu’un ventre pour son père. Très tôt Sköll a compris que sa mère n’était rien de plus. Pourtant elle en connaissait des histoires, des légendes. Et si son père l’avait autorisé à choisir son nom et celui de son frère c’est uniquement parce qu’elle lui avait donné de nombreux fils et qu’il voulait la récompenser. Et pourtant comme elle était belle et débordante d’imagination. Combien de choses a-t-il appris à ses côtés. Pourtant c’est bien sa condition de femme qui l’a tué. Epuisée, malade, elle n’avait plus aucun intérêt. Il était le dernier, il était prêt à devenir un homme. Les femmes ne sont plus utiles lorsque leurs fils sont devenus des guerriers. Des Hommes. L’Homme, celui qui décide, se bat, fait vivre son foyer. Il était prêt à cela, il voulait cela, mais pas avec une femme. Les femmes ne sont pas des créatures à aimer, elles sont utiles. C’est la seule leçon qu’il a retenu. Alors il l’a appliqué à sa plus extrême signification. Il a aimé un homme et s’est servi d’une femme pour engendrer…

• Que pense-t-il du système d'échelle sociale ?Pour être honnête, il s’en moque. Il sait qu’il n’a pas une situation enviable, mais qu’il n’a pas à envier. Il possède sa propre taverne, sombre, mais remplie de personne. Il est connu mais pas reconnu. Un juste équilibre. Alors oui il y a pire que lui, et il y a surtout bien mieux. Mais ces “bien mieux” sont plus utiles à sa taverne. Ceux là même qui se disent riches et arborent de rutilantes armures ne sont rien de plus que des ivrognes emplit de faiblesses une fois que l’alcool et le sexe ont obscurcit leurs pensées. Ces hommes remplit des fortunes et de fierté n’ont plus rien à envier à ceux qui n’ont rien une fois qu’il sorte de sa taverne

• Quelle est son ambition ultime ? Pour l’heure ? Rien de plus rien de moins que la vengeance. Venger la mort de l’être aimé et de son fils. Dans les secrets de son âme, dans les ténèbres d’une nuit sans fins, il ne veut plus de lumière au bout du tunnel. Il ne veut et ne voit que la mort. Pour ceux qui ont commis l’impensable, l’impardonnable… Mais pour lui aussi. Vivre n’est qu’une limbe supplémentaire en attendant un monde meilleur où enfin il retrouvera Karl et Runi


Physique

Grand, la peau tannée par le vent et par la mer, le regard terne, il ne reste plus rien de l’enfant élancé, fin et rieur aux cheveux noir comme l’ébène. Aujourd’hui Sköll semble plus tenir de la nuit qu’il affectionne ou des animaux qui hantent les grottes dans les légendes racontées aux enfants. De l’enfant frêle est né un homme fort. Avec les années la croissance de Sköll s’est stoppée au mètre quatre-vingt dix. Et si l’homme semble peu enclin à prendre soin de son apparence, optant pour une barbe mal taillée et des cheveux coupés avec des ciseaux émoussés, personne ne peut nier la force qui semble dégager de ce tavernier. Quatre vingt, quatre vingt dix kilos de muscles, rien de plus rien de moins. Une force brute que la roche semble posséder. Sa mâchoire carrée, souvent crispé renforce cet air patibulaire et en colère qui est le sien. Rien ne semble réellement doux chez lui, si ce n’est parfois son regard qui se pose sur la pierre sombre vestige d’une vie passée.


Histoire

And once she was in bed she said : « What a fine night, What a good walk !
I knew the Wolf wouldn’t find me ! »

Il n’avait pas prier les dieux, pas même fait un sacrifice à Vatn, pourtant sa femme avait su honorer ce que tous ses ancêtres avaient pu faire. Mieux encore, de ses frères il était le seul a avoir eu des jumeaux. Ses fils étaient là, tous réunis autour des derniers nés. Il avait laissé sa femme les nommer. Il serait Hati, celui qui chasse la nuit pour l’avaler, et Sköll celui qui chasse le soleil en espérant le dévorer. Son regard empli de fierté il portait Hati, premier né et observait chacun de ses traits, tandis que Sköll contre le sein de sa mère dormait paisiblement à l’abri de sa chaleur, entouré par son odeur. Elle avait accouché seule, avait émis peu de cris. A cette seconde il y avait eu un peu de fierté dans son regard. Mais déjà l’idée dévorante de continuer son lignage l’obsédait. Il voulait faire plus, il voulait mieux… Sköll serait le dernier né. Alrik n’en voulut jamais à sa femme, elle avait plus qu’enfanté, elle lui avait donné des fils forts et qui tous avaient survécu à leur prime enfance. Jamais malades, jamais faibles. Tous étaient forts et tous savaient tenir une épée. Même ce rêveur de Sköll. Agile, frêle, et fin, il avait pour lui de savoir se hisser jusqu’au sommet des rochers les plus hauts. De ses deux mains il tenait une épée qui pesait bien plus que lui. Ses coups étaient justes, ses mains déjà rugueuses. Il y avait quelque chose d’animal dans son regard. Il était aigle et voulait s’envoler, il était ours et vivait seul, bien mieux loin de ses frères, bien plus proche de sa mère…

Sa mère, celle qui ferme les yeux alors qu’il n’a que six ou sept ans, lui même ne s’en souvient plus. L’âge n’a pas d’importance, elle ne devait pas fermer les yeux, elle n’avait pas le droit. Dans son esprit d’enfant il est celui qui a échoué. Il avait pour mission de protéger cette lune tendre et protectrice. Alors il suit les pas de son père, apprend encore et toujours. Manier l’arc, l’épée, toujours aussi lourde, toujours aussi immense. Guerrier fier du haut de ses dix ans il est déjà capable de mettre à terre son jumeau et trois de ses aînés. Le rire de l’héritier résonne avec amusement, moquerie. Provoque sa rage et sa colère. Le temps passe et il s’éloigne encore un peu plus. Il n’est pas comme eux, il n’aime pas être avec eux. Ils ne sont pas comme lui… Leurs regards se posent sur les femmes qui parcourent l’île, sur celles qui arrivent et sont vendues. Il voit le désir dans chacun de leur geste, cette volonté sournoise de posséder cette chair humaine. La volonté d’être homme. Lui veut être autre chose. Il veut aimer, honorer les sentiments que sa mère lui a enseigné. Pour cela aux yeux de son père il était faible et le serait toujours. Il grandit, devient homme, mais son corps reste fin, son corps ne rend pas justice à la rage qui déjà serre sa gorge. Pourtant son regard gris brille encore… Du haut de ses rochers l’aigle tente un premier envole…

Il a quatorze ans, ses frères sont fiers de leurs femmes et de leurs performances. Seul Ingvar semble proche de ce petit frère toujours rêveur qui attend la nuit les bras tendus. Il voit bien ses regards vides quand les femmes lui parle. Il voit bien les regards rieurs quand Karl lui parle. Karl, fils d’un marin, d’un soldat. Mort au combat, il apprend à servir dans une taverne, un jour il veut tenir une auberge. Il veut y accueillir les voyageurs de passage, il veut visiter Bjǫrn et montrer une autre facette de son île. Amusé, séduit, Sköll le suit dans son rêve et entre au service d’un tavernier dont il apprend le métier. Alrik lui hausse les épaules. Son fils n’aurait pas survécu, au moins là, dans l’alcool et le service il ne lui arrivera rien. Au moins là il sera utile. Sköll gagne suffisamment d’argent son choix est fait, il vivra seul, loin de ces frères qu’il ne comprend pas de cette famille qui s’agrandit et se remplit de femmes, de filles dont le parfum ne sera jamais celui de sa mère. La famille Arnbjörnson devient le quartier des lunes. Son père ne voit pas cela d’un bon oeil, mais il accepte. Ce fils là ne lui donnera rien de bon… « Tes frères viendront te trouver le moment venu… Refuse et tu rentreras… » Voilà la seule condition. Il accepte et s’enfonce dans les terres, dans les grottes. Il y crée sa maison, son foyer. Karl, l’ami, l’y rejoint par un autre chemin, toujours. Karl l’ami est devenu Karl l’amant. Ils partagent leurs vies, leur nuit, leur lit. Ils y entremêlent leurs corps à l’abri des regard. Le soleil avale leur amour. Aux yeux de tous ils sont amis,. La nuit les recrache et ils deviennent amants de nouveau. C’est une vie secrète mais cela lui convient. Il ne veut pas plus…

Dix Sept ans, il a déjà de nombreuses nièces, mais pas de neveux. Il est venu voir la dernière née quand son frère Wilfrid vient le trouver. Il a été inscrit à Tveirbinda, il doit y aller. Voilà donc ce qui planait au dessus de sa tête. Silencieux il le suit, silencieux il participe, accomplit son devoir parce qu’il le doit. Ô il en avait parlé avec Karl, ils étaient d’accord, ils voulaient une famille à eux, cette cérémonie les y aiderait. Lui aussi irait, chacun leur tour. Un jour ils seraient pères. La lune frappe de nouveau, c’est une fille qui née et suit sa mère. Sköll lui soupire. Il n’était pas prêt, pas cette fois, il venait de fêter ses dix sept ans, il voulait du temps. Son amant ne fait pas mieux. Mais tout deux effleurent un peu plus ce rêves. La taverne ? Elle est à eux, enfin. Leur maître vient de mourir, les vapeur de l’alcool et la noirceur des années l’ont emporté. Ils les a couché sur son testament. Ils héritent de la Taverne, à eux d’en faire ce qu’ils veulent. Les clients sont ravis, elle ne fermera pas. Son père est un peu fier, il a quelque chose à lui, il possède un endroit. Ce fils qui ne ferait rien accompli quelque chose une première fois.

Il laisse lentement derrière lui, ses dix sept ans, une nouvelle Tveirbinda passe et cette fois la missive est reçue. Ce fils, tant attendu a vu le jour. Il n’y croyait plus, ne l’imaginait plus. Il prend le bateau, voyage jusqu’à la demeure de celle qui se nomme Alix. Elle est allongée là, son fils contre son sein. Il a dix sept et se voit dans cet enfant. Sa main rugueuse effleure ce crâne si petit. Il grave son visage dans son esprit. Il le porte, le tient avec fierté. Lui qui n’aime pas la Femme vient de créer la vie, celle qu’aucun de ses frères n’a pu engendrer. Il devra attendre il le sait, il doit pouvoir se tenir sur ses jambes. En attendant il viendra, aussi souvent qu’il le peut, il l’aime cet enfant… Il viendra avec Karl, il a enfin cette famille, sa famille… Alix lui sourit, elle comprend son secret, celle qui est assise à ses côtés n’est pas sa soeur mais sa femme. Ils partagent ce secret, elle s’est juré de ne pas le dévoiler, mais elle sait, elle a compris quel secret ronge ce regard gris.

Deux ans et six mois, c’est ce qu’il aura fallut à Runi pour rejoindre son père, pour retrouver celui qu’il aime peut être même plus encore que celle qui lui a donné la vie. Enfin il retrouve ses pères, enfin le foyer de Sköll est complet. Il est devenu la fierté de ce grand-père en mal de petit fils. Il lui parle de rejoindre le foyer des Arnbjörnson. Lui qui ne s’est pas marié, qui ne s’est jamais battu en tant que soldat. Lui qui enivre les meilleurs guerriers deviendrait la fierté du Père des Arnbjörnson ? Il ne peut hériter de tout, alors que lui s’est donné tant de mal depuis plus de trnete ans… Lui qui a tant de femmes et d’enfants, lui qui se débat avec celles qui assombrissent son univers rien que par leurs existences...

« Oh but you must travel through those woods again & again » said the Wolf « And you must be lucky enough to avoid the Wolf every time… »

a folie emporte lentement Dankrad, voilà qui est utile, voilà qui est simple. L’envoyer avec Wilfrid pour trouver le secret des refus successif de Sköll. vingt ans et il ne veut pas rejoindre la demeure familiale, il ne veut pas des honneurs de son père « Non non, il est bien chez lui, non il ne craint rien. Oui Runi s’amuse dans les galeries des grottes. Non ils sont bien installés. Oui Runi l’accompagne à la taverne, mais il joue avec le chien du vieux Ulrik et est la coqueluche des marins et des soldats de passages. C’est pour qu’il soit plus souriant encore qu’il lui laisse une petite pièce en plus. Il aura de beaux vêtements. » Le soir il rentre, endormit dans les bras de son père. Dankrad le trouve, le suit. Son sillage croise celui de Karl, ils marchent encore un peu, s’éloignent de la ville et finalement il les voit. Ces mains qui s’entrelacent, ces lèvres qui se touchent, s’embrassent avec passion. Il veut garder le silence mais trop tard, Wilfrid à conduit Harding à ce frère si fin limier malgré sa folie. Voilà donc le secret de son âme, voilà donc ce qui le conduira à l’échec. Cet amour interdit, qui sera sa monnaie d’échange. Il ne sera plus le possible héritier, lui retrouvera sa place dans le regard de son père. Un père prévenu.
Le chemin vers la nuit se trace… Elle attend prête à avaler le premier de ses fils. Les dieux sont cruels, sa mère le lui avait dit.

Il a vingt et un ans, il rentrait, il était heureux et riait. Devant sa maison ils sont tous là, ses frères. Harding fier et l’épée à la main, Hati le regard empli de colère et de dégoût. Ingvar le regard baissé la pointe de l’épée posée sur le sol. Il ne veut pas frapper, il est là parce qu’il n’a pas le choix. Le métal s’entrechoque, la famille se déchire alors que la rage du Père est vomi par des mots que Sköll n’oubliera jamais. La lame atteint son but, deux fois… Le sang coule, les cris résonnent. Ceux de Sköll quand il voit son amant au sol. Son père et ses frère le lui ont pris. Ils ont tous enfoncé le métal brûlant dans cette chair tant aimée. Et puis de nouveau un cri un appel « Papa ! » Bien plus frêle, une voix qu’il connaît par coeur malgré le peu de temps qu’il a passé avec lui. La lame de Harding a transpercé le corps de son fils. Il s’excuse, jure qu’il ne l’a pas voulu. Et la haine d’un grand-père se transforme en désespoir. Cet unique petit fils tant attendu vient de fermer les yeux. Il venait d’avoir quatre ans, il riait parce que son père lui avait juré qu’en arrivant il lui apprendrait à tirer à l’arc. Il riait parce que Karl, son père lui aussi, lui avait promis le repas qu’il préférait et ensemble, tous les trois ils devaient aller se hisser sur les plus hauts rochers et aller crier à la lune. Runi l’avait demandé. Tout vient de s’effondrer, il n’y a plus que le cri déchirant d’un père qui tient le corps d’un amant aimé et celui d’un fils qui ne vivra jamais. Il veut être seul, ils tentent de l’approcher il n’y a que des hurlements et de la colère et l’ordre de partir, tous autant qu’ils sont. Il n’y a que lui pour les enterrer. Ingvar est venu mais il se tient à distance, il ne veut pas s’attirer les foudres de son frère. Il les enterre non loin de là où il vit, dans la grotte où Runi aimait se cacher. Il les y scelle dans un dernier effort. Son regard croise celui de son frère. Il n’y voit plus rien, plus d’amour, plus de joie. Sköll vient de disparaître. Il rentre chez lui, ferme la porte de sa maison. Il pris ces dieux, ceux qui l’ont maudit, ceux qui se jouent de lui. Il sort de chez lui, s’enfonce et sacrifie ce loup immense qu’il vient de chasser. Il veut se venger, il veut être fort pour abattre un à un les Arnbjörnson. Il ne veut plus être un aigle, ses ailes sont brisées la chute a été fatale, il ne veut pas être ours sa famille vient de périr il ne veut plus protéger celle qui lui reste. Il y croit de tout son coeur, se détourne de Vatn. Il a toujours été remercié par les siens, il y avait cru enfant, et voilà tout ce qu’il avait récolté… La taverne est fermée quelques jours. On comprend le chagrin de ce père qui vient de perdre son fils. On ne comprend pas comment une famille a pu se déchirer à ce point. Pourquoi s’en prendre à celui qui semblait le plus heureux. On tente de trouver Sköll mais sa maison est désespérément vide, il a disparu, on lève la tête et regarde le sommet de l’île, il n’y est plus. Il garde pour lui les raisons de la colère de son clan, ils gardent pour eux cet amour défendu. Il se tait, Karl ne restera qu’un ami. Sköll disparaît comme emporté par le soleil. Les jours deviennent des semaines, les semaines des mois… Il a vingt deux ans quand enfin il réapparaît…

« But the Wolf, The Wolf only needs enough luck to find you ONCE. »

Il est immense, bien plus grand que dans les souvenirs de ceux qui l’ont connu. Il semble avoir pris en musculature. Sa main puissante devenue large enfonce la clé dans la serrure de la taverne. Son visage est masqué par une immense capuche. Lorsqu’il la retire même ses frères peinent à le reconnaître. Voilà un an qu’on ne l’a pas vu, voilà un an qu’il a disparu. Ingvar était allé le voir au début, et puis il a compris qu’il ne pourrait rien pour lui, alors il n’est plus revenu. La taverne se remplit, on ne lui parle pas de ce qui est devenu “l’incident” on semble même avoir oublié que tout cela est parti d’un amour interdit. Ils n’ont retenus que la mort de Runi. Lui qui emplissait ces lieux de rire. Tout cela ? C’est de la faute de Karl, Harding l’a juré. Il jalousait son frère et son fils. Il voulait ce qui n’était pas à lui. Eux ? Les Arnbjörnson ne voulait que défendre leur frère. Runi ? Personne ne lui voulait de mal, il s’est interposé pour protéger son père tant aimé. Il était valeureux comme son père, son grand père et son arrière grand père. Runi ne rit plus parce que Karl, ce mauvais Karl l’a emmené avec lui. Les Arnbjörnson ont fait leur devoir, que peut on leur reprocher ?

Le vieux Ulrik est mort lui aussi, son chien est resté au pied de la taverne comme attendant son maître. Le regard gris de Sköll s’est posé sur l’animal il lui a offert à boire et à manger, comme pour partager son chagrin. Il a adopté l’animal, l’animal semble en avoir fait tout autant. Les rires sont remplacés par l’alcool, des femmes de peu de vertues font leur entrées dans ce qui aurait dû être un lieu familial…. La famille n’a pas sa place ici. Alrik a tenté de venir boire un verre, le chien à montré les dents, Sköll a serré la mâchoire en lui demandant de partir. Dankrad a sombré un peu plus après ce qu’il a fait. Il vient, il veut boire pour oublier, par pitié… Sköll le toise, voilà donc celui qui l’a trahi. Il lui offre un siège et lui serre un verre qu’il doit payer. Ingvar tente sa chance, il en a plus. Sköll lui parle. Il apprend par la bouche de son aîné ce qu’il a besoin de savoir… Voilà ce soir la malédiction commence… Le deuxième né des Arnbjörnson vient de mourir, on l’a retrouvé devant sa mine. L’animal qui l’a eu a une mâchoire immense, il en a perdu un bras. C’est cruel, il est dévoré. Sa famille pleure, l’encre tatoue une nouvelle fois la peau de Sköll. On louerait presque son courage, lui qui pleure son frère alors qu’il avait déjà un fils à pleurer Personne ne sait ce qu’il s’est passé pendant l’incident, alors qu’ils sont tous coupables de la mort de Runi.

Les années passent, les morts se multiplient. Elle frappe aveuglément. La Bête… La bête c’est lui, cet homme qui tient une taverne devenu bordel connu et reconnu. Lui cet homme rustre qui se tient dans l’obscurité de ces lieux. Lui qui boit et jure. Lui qui frappe ceux qui touche à “ses filles” lui qui lève la main sur celles qui lui répondent. Lui dont le regard gris semble plonger vers le noir.

Voilà les dieux ont répondu à sa prière. Il est devenu l’Ulfhedinn. Mais que fait cette créature là ? Les dieux sont joueurs. Il voulait être fort sans être ours ni aigle. Alors il lui ont offert le loup, en hommage à son fils, en honneur de celle qui le lui avait donné et connaissait ce secret qui rongeait son coeur. Oui mais l’Ulfhedinn n’a pas sa place ici, ce n’est pas son monde, ce n’est pas son île. Alors il faut s’en débarrasser, le chasser. Dankrad compte, comprend que la bête leur en veut personnellement. Elle a tué deux de ses frères, a dévoré certaines de leurs filles ou de leurs femmes. Dans cette grotte face à l’animal il comprend. Son regard dans le sien, en voyant ses crocs, il comprend que sa fin est là. Il l’avait dit, la mort de Runi les a maudit, tous autant qu’ils étaient. « Je vous hais ! Soyez maudits ! » Voilà ce qu’avait hurlé son frère. Il avait réussi. Les autres ? Ce ne sont que des morts de plus, il voit la vérité au milieu du chaos. La prière de Sköll avait été exaucée et la bête mythique frappait. Régulièrement. Quand la lune était pleine ou quand elle avait totalement disparue.

Dix ans, presque dix ans que l’île vit sous cette menace constante. On a bien failli l’attraper, la tuer même, mais on toujours échoué, elle a été trop rapide, trop dangereuse. Elle connaît l’île, la arpente avec facilité. Un temps on a pensé que Sköll était lié à cela, parce que Dankrad le hurlait. Mais il était là, tout ceux dans la taverne le jurait. Comment pouvait il partir il dirige les lieux de cette mains de fer et de roche ? Non non ce n’est pas possible. Et pourtant, pourtant… Il s’est fait suffisamment visible pour ne pas qu’on l’oublie, même quand il n’est pas là. Dix ans, et l’animal prend le dessus, lentement sur l’homme. Sköll boit pour oublier. L’encre trace des motifs sur son bras. Qu’il est brave d’honorer sa famille. Il est là, la taverne qui n’en garde vraiment que le nom n’a pas fermé alors que son père vient de mourir à son tour. On l’a difficilement reconnu, il ne restait pas grand chose de son visage, juste ce qu’il fallait. Mais on va l’attraper cet animal. Et si Harding a fui, Hati lui espère bien tuer cette bête qui hante ses cauchemars…. Il a commandé une arme spéciale au meilleur des forgerons, Dix ans bientôt qu’elle est là. Elle ne passera pas un mois de plus et surtout il ne perdra pas la vie….

The Wolf only needs enough luck


Informations complémentaires

Sköll est un change-peau, ce n’est pas par un tour de sorcier qu’il l’est devenu, mais ce sont les dieux non Heimr lui même qui l’a exaucé Attiré par les pleurs de ce père sans foyer, attisé par la force de sa colère. Il lui a donné ce qu’il réclamait tant la force. Le transformant en Ulfhedinn. Pendant un an Sköll a appris à maîtriser ses transformations physiques et psychiques. Tuant des êtres insignifiant et dont personne ne remarquerait la disparition. Avant de finalement revenir pour entamer sa vengeance.


Informations personnelles

• Avatar : Tom Hardy
• Crédits : Cami-Ali (merchiiiii °°)

• Pseudo : Candy_Lady
• Âge : chuuuuut ça va fâcher Ange
• Divers :
• Comment avez-vous connu le forum ? Par Gabriel
• Avez-vous des conseils à donner ? tout est super, c'est très original et organisé bref rien à dire °°
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Message posté : Mar 29 Mai 2018 - 11:56 Message
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Logan Skall
Snakr - Marchand

Logan Skall

Snakr - Marchand
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Description sommaire:
Bienvenuuuuuuuuuuuue !
Crazy
Un nouveau marchand !! coooool ! Aaah
Et cet avatar... Rrrrr... ToMuch
Bon chance pour ta fiche !
Et si tu as des questions n'hésite pas !
PQ
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Message posté : Mar 29 Mai 2018 - 23:35 Message
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Gabriel Brynjolfson
Snakr - Artisan

Gabriel Brynjolfson

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Description sommaire:
YOU !!! Nia
Bienvenue vieille bique Héhé de mon cœur L Je suis ravie de te voir parmi nous, dépêche toi de nous finir ton sauvage Pervers
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Message posté : Mar 29 Mai 2018 - 23:44 Message
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Eldrid Skallagrimdóttir
Bjorn - Guerrier

Eldrid Skallagrimdóttir

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Bienvenue Brille
Hâte de lire ce que tu vas nous faire Brille
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Message posté : Mer 30 Mai 2018 - 19:23 Message
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Astrid Sìlfrddóttir
Falki - Guerrier

Astrid Sìlfrddóttir

Falki - Guerrier
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Capitaine du Fer-de-Lance

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Statut RP : ouvert (0/2)

1 rose de Sigrid, 4 rose de Logan, 3 rose du non-époux ❤️ Merci !
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Description sommaire:
Bienvenue à toi !! Nia

Excellent choix d'avatar, je ne peux qu'approuver Héhéhé

Hâte de voir ce que tu nous prépares ! Si tu as des questions, n'hésites pas Héhé
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Message posté : Ven 1 Juin 2018 - 21:19 Message
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Svein Brynjolfson
Bjorn - Guerrier

Svein Brynjolfson

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Description sommaire:
Bienvenue sur le forum ! Bon, je ne peux pas dire grand-chose de plus que : bon courage pour ta fiche ! Hihi Si tu as des questions concernant le forum ou son contexte, surtout il ne faut pas hésiter ! :D
A bientôt en jeu j'espère ! Nia
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Message posté : Sam 2 Juin 2018 - 21:16 Message
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Sköll Arnbjörnson
Snakr - Marchand

Sköll Arnbjörnson

Snakr - Marchand
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Aucun

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Description sommaire:
Merci à tous pour votre accueil !

@Gabriel Brynjolfson : Vieille bique ? Tu vas voir ce qu'elle va te faire la bique... Mon biquet Sexy
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https://kolmen-kirosi.forumsrpg.com
Message posté : Dim 3 Juin 2018 - 23:10 Message
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Adalrik Brynleifrson
Jarl de Kolmen Kirosi

Adalrik Brynleifrson

Jarl de Kolmen Kirosi
Infos de base∞ Nombre de messages : 1453
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Description sommaire:
Bienvenue parmi nous, très cher ! Abeille
J'ai dévoré ta fiche (huhu), ce fut un plaisir ! Cute

Ce genre de personnage n'est pas facile à créer puis à jouer : on a vite fait de trop en faire, de laisser son personnage être écrasé par le destin tout en lui permettant continuellement de s'en sortir, miraculeusement.
Je trouve que tu réussis à éviter l'écueil et trouves un équilibre : le bonhomme a une vie de merde, il est marqué et sa psyché s'en ressent. Il commet des actes irréparables et en paie les conséquences, tu l'as glissé tout au long de ta fiche - qui plus est très belle, poétique parfois Brille (même si ça manque d'effusions de boyaux et de nyeux arrachés à mon goût Diable ).

Il faudra être vigilant en jeu pour conserver cet équilibre précaire : l'Ulfhedinn sera traqué inlassablement, Sköll peut se laisser dominer par cette part maudite, et l’étau de la suspicion pourrait se refermer sur lui si toute sa famille succombait, sauf lui. Je te fais confiance pour garder ces éléments en tête et rester crédible en rp Diable 2

Comme tu l'auras compris, tu es validé ! Je t'invite dès à présent à poster les fiches de gestion de ton personnage ! Si tu le désires, tu peux aussi jeter un œil aux boutiques, que ce soit pour faire tes achats ou demander la tienne. Si jamais tu es perdu(e), n'hésites pas à consulter le guide du joueur. Pour créer des liens avec les autres joueurs, rends-toi sur la chatbox ou dans la zone de détente ! Si tu veux voter pour le forum, tu trouveras les top-sites sur la page d'accueil du forum.

Tu débuteras avec un niveau 3 en éloquence et 3 en combat ainsi qu'un niveau de renommée de 3 et d'une somme de 1 500 pièces d'argent que tu pourras utiliser pour faire tes premiers achats. Tu possèdes également une taverne/bordel (je ne vous félicite pas monsieur) dont tu peux demander la création, gratuitement, ici.

Essaie de ne pas tous nous dévorer Oeil
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Message posté : Dim 3 Juin 2018 - 23:14 Message
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Sköll Arnbjörnson
Snakr - Marchand

Sköll Arnbjörnson

Snakr - Marchand
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Merci papy !

Blague à part merci pour tous ces compliments et promis sur mon honneur il y aura bientôt plus de sang et de boyaux arrachés !
Je garde bien évidement toutes ces remarques en tête et ferait de mon mieux pour respecter la confiance qui est placée en mon personnage !

Merci pour tout !
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